𝗧𝗿𝗮𝗻𝗰𝗵𝗲 𝗱𝗲 𝘃𝗶𝗲 𝗱𝗲 𝗽𝗿𝗼𝗳 : 𝗹𝗲 𝗰𝗮𝘀𝘀𝗲-𝘁ê𝘁𝗲 𝗱𝗲𝘀 𝗹𝗲𝘁𝘁𝗿𝗲𝘀 𝗱𝗲 𝗿𝗲𝗰𝗼𝗺𝗺𝗮𝗻𝗱𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝘈𝘷𝘦𝘤 𝘭𝘢 𝘳𝘦𝘯𝘵𝘳é𝘦, 𝘫𝘦 𝘳𝘦𝘱𝘳𝘦𝘯𝘥𝘴 𝘮𝘰𝘯 𝘩𝘢𝘣𝘪𝘵𝘶𝘥𝘦 𝘥𝘦 𝘷𝘰𝘶𝘴 𝘱𝘢𝘳𝘵𝘢𝘨𝘦𝘳 𝘮𝘦𝘴 𝘳é𝘧𝘭𝘦𝘹𝘪𝘰𝘯𝘴 𝘦𝘯 𝘵𝘢𝘯𝘵 𝘲𝘶𝘦 𝘤𝘩𝘢𝘳𝘨é 𝘥'𝘦𝘯𝘴𝘦𝘪𝘨𝘯𝘦𝘮𝘦𝘯𝘵 𝘢𝘶 𝘔𝘉𝘈. On me demande souvent des lettres de recommandation. Mais avec des cours 100 % en ligne et plus de 300 étudiants par session, il m'est presque impossible de réellement vous connaître. Quand tout se déroule sans accroc - pas de questions, pas d’interactions... et parfois même pas de profil LinkedIn pour mettre un visage sur un nom - comment rédiger une référence honnête et utile ? C’est tout autre chose lorsque j’accompagne un projet d’intervention de maîtrise ou lors du MBA exécutif. Là, je vois les qualités, les forces, les efforts… et je peux recommander avec conviction. Mais au fond : quelle est la vraie valeur de ces références ? Les employeurs les lisent-ils vraiment ? Les universités y voient-elles autre chose qu’une formalité ? Quelques conseils pour celles et ceux qui m'en font la demande : • Complétez votre profil LinkedIn (photo, résumé, expériences). Détaillez votre expérience, les projets, etc. • Rappelez-moi dans quel cours ou quelle session vous étiez. • Indiquez quel est le but précis de cette demande, ce que vous aimeriez que je mette de l'avant (note: je ne fais pas de recommandation générale - chaque lettre doit s'inscrire dans une démarche précise de recherche d'emploi ou d'inscription à un programme universitaire). Lors de ma propre inscription au MBA à la FSA ULaval il y a très, très longtemps, mon patron m’avait suggéré d’écrire moi-même la lettre qu’il signerait si elle lui convenait. Un exercice d’introspection et de communication beaucoup moins facile qu’on l’imagine ! 👉 Avez-vous vécu des situations semblables ? Des anecdotes ou suggestions à partager sur la valeur réelle des références ?