Au sujet de la protection de la vie privée, on m’a traité de « radical ».
On m’a qualifié de « fondamentaliste ».
Une personne que j’estimais beaucoup a même jugé ma démarche #NoConsentNoTracking « nuisible ».
Mais on m’a aussi dit que je fais partie des rares à parler des principes sous-jacents à la vie privée sans me réfugier derrière le jargon juridique.
On reconnaît ma capacité à partager mes idées tout en restant ouvert aux opinions divergentes.
Et apparemment, j’ai le cran d’aborder les sujets que les avocats évitent publiquement et que les agences fuient, de peur d’y voir un danger pour leurs affaires.