L’annonce du décès violent de Daniel Langlois m’a plongé dans le passé, à l’époque où, dans la vingtaine, j’étais chez Softimage. Bien que nos interactions aient été limitées, son aura de génie, de visionnaire, de travailleur acharné, d’artiste et d’humaniste imprégnait l’ensemble de l’entreprise.
Même si je n’étais « que » webmaster et administrateur de systèmes, ça reste un des endroits où j’ai eu le plus de plaisir à travailler. Chez Softimage, j’ai découvert le monde de l’animation 3D et des effets spéciaux, un secteur technologique de pointe où le travail acharné était la norme, mais où l’atmosphère était jeune, dynamique, pleine de potentiel et souvent très festive.
Avec le recul je ressens une certaine nostalgie pour cette figure inspirante.
Je m'estime privilégié d’avoir croisé son chemin.
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